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Le patient chez le psychiatre:

-Docteur, j’ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un caché dessous. Alors, je me relève pour regarder sous le lit, et, bien sûr, il n’y a personne. Je me recouche, mais au bout d’un moment, je me dis que je n’ai peut-être pas bien regardé.

Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j’ai beau me dire que c’est idiot, je ressens toujours le besoin de m’assurer que personne n’est caché sous le lit.

Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?

Le psychiatre: – Hum … Je vois … obsessionnel compulsif … Comptez quatre ans d’entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de votre obsession.

Le patient: – Euh … Combien ça va me coûter, Docteur ?

Le psychiatre: – 60 € par séance. Donc, 180 € par mois, 2160 € par an et donc 8700 € au final.

Le patient (songeur): – Euh … Je crois que je vais réfléchir …

Six mois plus tard, le psychiatre rencontre par hasard le type dans la rue :

-Alors ? Pourquoi n’êtes-vous jamais revenu me voir ?

Le patient: – 8700 €? Un livreur de pizza m’a résolu le problème pour seulement 30 €

Le psychiatre (vexé): – Votre livreur de pizza ?? Vraiment ?? Et comment a-t-il fait?

Le patient: – Il m’a conseillé de scier les pieds de mon lit !!!

Il y a un peu trop longtemps que je n'avais pas trouvé un blaque amusante :
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Bonjour.
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Samuel était un homme pieux mais maladroit.

Depuis des années, chaque matin, au petit-déjeuner, il beurrait minutieusement sa tartine de pain et, immanquablement, elle lui glissait des mains et se retrouvait par terre, la face beurrée côté sol. Le drame de sa vie.

Ce jour là, pourtant, la tartine était tombée du bon côté, beurre vers le haut. Miracle ! a pensé Samuel. Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce un message de Dieu ?

Il court voir le rabbin de sa petite communauté et lui raconte l’événement.

Tu te rends compte, Rabbi ? Dieu a guidé ma main ! Je suis élu parmi les élus !

Le rabbin ne sait quoi répondre. Lui, qui, depuis toujours a réponse à tout, se doit de trouver, à tout prix, la bonne explication.

Je dois réfléchir. Reviens me voir ce soir, je te dirai ce qu’il en est.

A la synagogue, après la prière du soir, Samuel se précipite vers le rabbin.

Alors, Rabbi, quel message Dieu m’a envoyé ?
J’ai bien réfléchi. J’ai relu le Talmud pour toi. J’ai analysé tous les miracles dont Dieu nous a gratifié depuis des siècles.
Alors Rabbi ? Alors ?
Samuel, aujourd’hui tu as simplement tartiné ton pain du mauvais côté !118806

Une blague sur l'union soviétique, pour sourire un peu...


C'était le Jour du défilé de la Victoire.
Le bon vieux Leonid Brejnev était aux commandes.

Il y avait trois invités VIP .
- Alexandre le Grand
- Jules César, et..
- Napoléon Bonaparte

Alors que le défilé battait son plein et que les troupes terrestres marchaient dans leurs formations sans fin, Alexandre remarqua :

- Camarade Brejnev, avec ces bons soldats sous mes ordres, j'aurais achevé ma conquête de l'Asie !
Léonid esquissa un sourire et porta un toast à 100 mL de vodka avec Alexandre, ravi des éloges.

Le défilé continua, et tandis que les fiers pilotes d'avions de combat volaient dans le ciel, Jules César observait avec une impression belliciste, puis s'exclama :
- Camarade Brejnev, si j'avais eu votre armée de l'air, j'aurais conquis le monde entier !
Leonid rit bruyamment, versa encore 100 mL de vodka pour porter un toast à Jules César, visiblement rayonnant.

Alors tous les regards se tournèrent vers Napoléon qui n’avait rien dit. Il tenait à la main un exemplaire de la Pravda, le principal journal de l'Union soviétique, et semblait l'inspecter minutieusement. Les moments passèrent, jusqu'à ce que Brejnev tousse bruyamment pour attirer l'attention de Napoléon. Pendant quelques secondes encore, Napoléon resta immobile, puis se tourna vers le trio, les yeux complètement grands ouverts comme s'il était incrédule ou émerveillé. et avec le plus grand respect, déclara lentement :
- Camarade Brejnev, si j’avais eu un journal comme celui-ci à mon époque, personne n’aurait jamais pu savoir que j’avais perdu à Waterloo !119036

Bonjour.

je ne peux pas résister à faire profiter le forum de cette image (pieuse).119317
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A méditer...
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Bonjour.
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Quand le président boit, les Français trinquent.
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